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🖱️ Alcoolodépendance : la dopamine comme piste thérapeutique

Un déficit en dopamine dans une région du cerveau impliquée dans la motivation est associé à l’alcoolodépendance, et corriger cette anomalie permet de réduire l’addiction. C’est ce qu’une équipe Inserm de l’Institut des neurosciences de Grenoble vient de démontrer, chez le rat. Les chercheurs ouvrent ainsi une nouvelle piste thérapeutique, bienvenue pour tenter de traiter efficacement ce trouble qui représente un important problème de santé publique.

Un déficit en dopamine dans une région du cerveau impliquée dans la motivation est associé à l’alcoolodépendance, et corriger cette anomalie permet de réduire l’addiction. C’est ce qu’une équipe Inserm de l’Institut des neurosciences de Grenoble vient de démontrer, chez le rat. Les chercheurs ouvrent ainsi une nouvelle piste thérapeutique, bienvenue pour tenter de traiter efficacement ce trouble qui représente un important problème de santé publique.

 Un déficit en dopamine dans une région du cerveau impliquée dans la motivation est associé à l’alcoolodépendance, et corriger cette anomalie permet de réduire l’addiction. C’est ce qu’une équipe Inserm de l’Institut des neurosciences de Grenoble vient de démontrer, chez le rat. Les chercheurs ouvrent ainsi une nouvelle piste thérapeutique, bienvenue pour tenter de traiter efficacement ce trouble qui représente un important problème de santé publique.

En France, environ 90 % des adultes sont régulièrement exposés à l’alcool et près d’un quart en consomme trop, à savoir plus de deux verres par jour et pratiquement tous les jours. Le principal risque de cette consommation excessive est la dépendance : elle se manifeste par un besoin compulsif de boire malgré des conséquences négatives sur sa santé, sa vie personnelle et professionnelle, ainsi que par une souffrance psychique et physique en cas de manque. Mais tous les gros consommateurs d’alcool ne tombent pas dans la dépendance, seule une fraction d’entre eux développe ce trouble. Or les raisons et les mécanismes de cette vulnérabilité restent mal compris.

 

🖱️ Alcool : A‑t-on épuisé tous les moyens de lutte ?

Une nouvelle expertise collective Inserm s’intéresse à la réduction des dommages associés à la surconsommation d’alcool, un sujet qui reste tabou malgré des risques bien connus. Ce rapport livre un état des lieux des atteintes dues à l’alcool aujourd’hui, et propose un programme national de lutte contre les mésusages liés à sa consommation, adapté aux enjeux socio-sanitaires actuels. Comment convertir des données scientifiques en une véritable politique de santé publique ? Décryptage en compagnie de chercheurs qui ont participé à l’expertise.

Un article à retrouver dans le magazine de l’Inserm n° 50

43 millions de consommateurs, première cause d’hospitalisation et deuxième cause de mortalité évitable après le tabac en France et septième cause de perte d’années de vie en bonne santé dans le monde : l’alcool, et surtout sa surconsommation, sont un enjeu de santé publique majeur, paradoxalement méconnu et sous-médiatisé. D’où la récente expertise commandée à l’Inserm par la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca) et la Direction générale de la Santé. Publié en juin 2021, le rapport intitulé Réduction des dommages associés à la consommation d’alcool, fruit du travail de 12 experts, a mobilisé des compétences en épidémiologie, psychologie, psychiatrie, physiologie, alcoologie, économie, marketing et politiques publiques, et s’appuie sur une analyse approfondie de la littérature scientifique.


Une nouvelle expertise collective Inserm s’intéresse à la réduction des dommages associés à la surconsommation d’alcool, un sujet qui reste tabou malgré des risques bien connus. Ce rapport livre un état des lieux des atteintes dues à l’alcool aujourd’hui, et propose un programme national de lutte contre les mésusages liés à sa consommation, adapté aux enjeux socio-sanitaires actuels. Comment convertir des données scientifiques en une véritable politique de santé publique ? Décryptage en compagnie de chercheurs qui ont participé à l’expertise.

Un article à retrouver dans le magazine de l’Inserm n° 50

43 millions de consommateurs, première cause d’hospitalisation et deuxième cause de mortalité évitable après le tabac en France et septième cause de perte d’années de vie en bonne santé dans le monde : l’alcool, et surtout sa surconsommation, sont un enjeu de santé publique majeur, paradoxalement méconnu et sous-médiatisé. D’où la récente expertise commandée à l’Inserm par la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca) et la Direction générale de la Santé. Publié en juin 2021, le rapport intitulé Réduction des dommages associés à la consommation d’alcool, fruit du travail de 12 experts, a mobilisé des compétences en épidémiologie, psychologie, psychiatrie, physiologie, alcoologie, économie, marketing et politiques publiques, et s’appuie sur une analyse approfondie de la littérature scientifique.

Une nouvelle expertise collective Inserm s’intéresse à la réduction des dommages associés à la surconsommation d’alcool, un sujet qui reste tabou malgré des risques bien connus. Ce rapport livre un état des lieux des atteintes dues à l’alcool aujourd’hui, et propose un programme national de lutte contre les mésusages liés à sa consommation, adapté aux enjeux socio-sanitaires actuels. Comment convertir des données scientifiques en une véritable politique de santé publique ? Décryptage en compagnie de chercheurs qui ont participé à l’expertise.

Un article à retrouver dans le magazine de l’Inserm n° 50

43 millions de consommateurs, première cause d’hospitalisation et deuxième cause de mortalité évitable après le tabac en France et septième cause de perte d’années de vie en bonne santé dans le monde : l’alcool, et surtout sa surconsommation, sont un enjeu de santé publique majeur, paradoxalement méconnu et sous-médiatisé. D’où la récente expertise commandée à l’Inserm par la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca) et la Direction générale de la Santé. Publié en juin 2021, le rapport intitulé Réduction des dommages associés à la consommation d’alcool, fruit du travail de 12 experts, a mobilisé des compétences en épidémiologie, psychologie, psychiatrie, physiologie, alcoologie, économie, marketing et politiques publiques, et s’appuie sur une analyse approfondie de la littérature scientifique.

Un déficit en dopamine dans une région du cerveau impliquée dans la motivation est associé à l’alcoolodépendance, et corriger cette anomalie permet de réduire l’addiction. C’est ce qu’une équipe Inserm de l’Institut des neurosciences de Grenoble vient de démontrer, chez le rat. Les chercheurs ouvrent ainsi une nouvelle piste thérapeutique, bienvenue pour tenter de traiter efficacement ce trouble qui représente un important problème de santé publique.

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Un déficit en dopamine dans une région du cerveau impliquée dans la motivation est associé à l’alcoolodépendance, et corriger cette anomalie permet de réduire l’addiction. C’est ce qu’une équipe Inserm de l’Institut des neurosciences de Grenoble vient de démontrer, chez le rat. Les chercheurs ouvrent ainsi une nouvelle piste thérapeutique, bienvenue pour tenter de traiter efficacement ce trouble qui représente un important problème de santé publique.
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Un déficit en dopamine dans une région du cerveau impliquée dans la motivation est associé à l’alcoolodépendance, et corriger cette anomalie permet de réduire l’addiction. C’est ce qu’une équipe Inserm de l’Institut des neurosciences de Grenoble vient de démontrer, chez le rat. Les chercheurs ouvrent ainsi une nouvelle piste thérapeutique, bienvenue pour tenter de traiter efficacement ce trouble qui représente un important problème de santé publique.